Les procédés utilisés doivent respecter les principes de la chimie verte, qui vise une chimie durable : limitation des pollutions, réduction des dépenses énergétiques, matière première renouvelable…

L’activité bioraffinerie démarre en 2006 et le laboratoire inauguré en 2007 lui permet de réaliser ses premiers projets (V2ARUN, cires de cannes) avec notamment une salle dédiée à la chromatographie extractive, une autre à l’extraction liquide/liquide et à la chimie organique.

En 2012 le laboratoire se dote d’un pilote de bioraffinerie axé sur les principes de la chimie verte comprenant des unités de :

• Microfiltration équipée en membrane céramiques (1,2 m²),
• Nanofiltration / osmose inverse pouvant porter jusqu’à 4 membranes,
• Un système de colonnes chromatographiques séparatives 3x10L,
• Un réacteur ATEX double enveloppe 50L.

Il permet de réaliser une première montée en échelle pour les procédés conçus au laboratoire et de produire des molécules d’intérêt en quantité suffisante pour évaluer leur potentiel applicatif.